GABRIELA
- Agustín Rivas Corrales
- 17 oct. 2021
- 1 min de lecture
Après la nostalgie de t’aimer,
et de la complexité et de la relativité du temps,
après 30 ans à ne pas te voir,
le feu de mon amour brûle encore.
Comme investi du passé dans mille souvenirs,
ta voix vint et me secoua à nouveau,
mon cœur a pleuré, a perdu son souffle,
et un grand amour aujourd’hui a refait surface au mauvais moment.
T’écouter a récompensé l’absence
de cet amour qui s’est perdu entre les rêves,
Combien je t’ai aimé !... J’ai aimé ton essence,
mais comme il est triste que je t’aime encore.
De tout il n’y a que le grand vide
et le grand amour que j’ai toujours eu pour toi,
c’était pour te regarder une douce extase,
tu es inaccessible comme un nuage.
Platon a dit ce que j’ai tant fait,
je ne trouvais pas les mots, ni la voix non plus :
"Il n’y a pas d’amour plus grand que celui qui n’est pas dit,
l’homme qui ressent beaucoup... parle peu."
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